Torevitis

L'équipe Torevitis

La passion du vin & de la vigne

Depuis 1984, notre entreprise familiale a gagné la confiance des hôteliers et restaurateurs grâce à notre sélection rigoureuse de produits de niche provenant de vignerons talentueux. Nous maintenons des critères de dégustation élevés et visitons régulièrement nos partenaires pour assurer une traçabilité irréprochable de vins uniques.En 2008, Cédric a repris les rênes de la société, rapidement rejoint par Tania, son épouse. Avec l’arrivée de Grégoire, la société a évolué, en se rapprochant davantage des vignerons suisses et en valorisant l’identité des terroirs helvétiques. Nos vins sont méticuleusement dégustés et stockés dans une ancienne cave offrant des conditions idéales. Ainsi, hôteliers, restaurateurs, entreprises et particuliers bénéficient de notre sélection passionnée. Notre réactivité et notre engagement garantissent la qualité de chaque vin sélectionné, rapidement disponible. Grâce à notre expertise globale, nous développons des projets innovants qui nous passionnent, comme notre historique “sélection vigneronne” qui reflète notre expérience en vinification et notre projet “rafles” lancé au printemps 2020, visant à révolutionner les pratiques de production.

Cédric

Cédric a repris la Société familiale en 2008. Il est le pilote énergique de Torevitis.
Titulaire d’un diplôme en œnologie de l’école de Changins, il est le maestro derrière notre sélection de vins biologiques.
Cédric allie passion pour le vin et expertise, choisissant méticuleusement des crus qui embellissent les cartes des restaurants tout en soutenant une viticulture responsable. Il est votre allié idéal pour transformer votre carte des vins en une histoire captivante de terroirs et de saveurs.

L'interview de Cédric

Tu as un parcours fascinant dans le monde de la viticulture suisse. Peux-tu nous parler de tes débuts dans ce domaine?

Bonjour Tania, c’est un plaisir de partager mon parcours. Je plaisante souvent en disant que je suis le SDF de la viticulture suisse, car je n’avais ni terres ni domaine viticole à reprendre en sortant de l’école de Marcelin et de Changins. Mon parcours est plutôt marqué par des rencontres que par des expériences traditionnelles.

La première rencontre marquante a été avec Blaise Duboux. Il m’a transmis la passion de la vigne, du paysage et du terroir. J’ai compris l’importance de devenir le gardien d’un paysage, d’une tradition et d’un savoir-faire. C’est une responsabilité qui nous rappelle que les vignes étaient là avant nous et le seront après nous.

Ensuite, j’ai rencontré Philippe Charrière, que j’aime appeler le « savant ». J’ai passé la dernière année de mon apprentissage avec lui. Il faisait beaucoup de recherches et d’essais, et il m’a inspiré à toujours chercher des réponses aux questions sur la vigne et le vin. Il me disait souvent que notre seul capital était notre temps.

Denis Jotterand, l’ancien œnologue cantonal, a été une rencontre marquante. Il venait faire des essais de vinification chez Philippe Charrière. Il m’a offert la possibilité de travailler au laboratoire cantonal, où j’ai appris énormément, notamment en collant les vins et en les analysant. C’était incroyable de voir tous les plus grands vignerons du canton défiler.

En 2001, je suis parti à Neuchâtel au domaine des Coccinelles pour travailler en culture biologique. J’ai rencontré Maurice Lambert, un pionnier du bio suisse. En parallèle, j’étudiais à Changins où le bio n’était pas à l’honneur, ce qui créait un contraste saisissant. J’ai également travaillé à la Cave de la Béroche avec Ernest Gachnang, un maître caviste suisse allemand.

Oui, la Bourgogne, les vins des rois! Mon père, qui était un fin connaisseur, m’a introduit à Jean-Claude Boisset, un homme fascinant. J’ai eu l’honneur de travailler avec Bernard Zito et Pascal Marchand à la Vougerai, où nous avons travaillé dans l’excellence. Ensuite, j’ai travaillé chez Monmessin, une grande coopérative du Beaujolais, où le contraste avec la Bourgogne était saisissant.

Le Nouveau Monde avait une approche marketing fascinante. Je suis parti en Afrique du Sud pour comprendre ce qui s’y passait. J’y suis resté cinq mois, revenant avec plein d’idées et un intérêt accru pour la vente.

 J’ai décroché un poste de caviste pour le cellier de Saint-François. J’y ai rencontré l’un de mes meilleurs amis, Patrick Bovon, et toi, Tania, en 2007. Mon patron, Aimé Pouly, m’a beaucoup inspiré avec son empire dans la boulangerie suisse.

Les 15 dernières années ont été marquées par la reprise de la société familiale et des rencontres merveilleuses avec des vignerons et des gastronomes. Plus que jamais, je réalise que l’amour du vin m’a permis de rencontrer des personnes incroyables et de ne pas seulement travailler, mais de me lever chaque jour pour voir des amis.

Tania

Comptabilité- suivi et chef d’orchestre.

Tania , c’est notre rayon de soleil quand les foudres administratives nous tombent dessus.
Elle met tout en œuvre pour satisfaire les plus exigeants, elle traduit les chiffres en lettres et les lettres en chiffres. Elle est plus précieuse que les cuvées rares. Un vrai trésor du 21ème siècle…

Les cuvées vigneronnes vous connaissez ?